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    Cognatique -> par les femmes....

    Sophie Léontine

    une de mes triaïeules

    née à Paris

     

    COGNAT/COGNATIQUE : ascendant ou descendant par les femmes. Une généalogie est cognatique lorsqu’elle ne prend en compte que les femmes.

     

     Aïeul(e) : Il s'agit du grand-père ou de la grand-mère.
    Bisaïeul(e):Arrière-grand-père ou arrière-grand-mère.
    Trisaïeul(e):Arrière arrière-grand-père ou arrière arrière-grand-mère.
    Conjoint(e) : l’époux ou l'épouse.
    Consanguins : enfants nés du même père, mais de mères différentes
    Utérins : enfants nés de la même mère, mais de pères différents

    Germains : « vrais » frères et soeurs
    Enfant légitime: Enfant dont les parents sont mariés.
    Enfant naturel: Enfant conçu hors mariage.

    Viduité : veuvage (vieux français)

    Putatif : qui est réputé être ce qu’il n’est pas

     « Un père putatif, celui que l’on croit être le père d’un enfant, quoiqu’il ne le soit pas en effet. »

     COGNAT : A Rome celui qui avait des liens de parentés naturels ( et non pas civil) ;c’est à dire par les femmes

     

    Et un glossaire des liens de parenté

    http://fan-genealogie.org/index.php?option=com_content&view=article&id=361:glossaire-des-liens-de-parente&catid=95:la-parente&Itemid=217 

     


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  • Voici un livre de chroniques ayant eu lieu sur France Inter en 2013

     

    La Belle Époque est une période marquée par les progrès sociaux, économiques, technologiques et politiques en Europe, 

    s'étendant de la fin du XIXe siècle au début de la Première Guerre mondiale en 1914.

     

    L'expression est née après la Première Guerre mondiale pour évoquer la période antérieure à la Grande Guerre et postérieure à la dépression économique de 1870 à 1896. Dans cette désignation, il y a une part de réalité (expansion, insouciance, foi dans le progrès, etc.).

    Le terme est principalement usité en France et Belgique.


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  • Génétique et généalogie; deux domaines qui ne se parlent pas très souvent et qui ont pourtant tant de choses à échanger.

    Tous deux traitent de filiation, de parenté, de transmission,  d’héritage. On dit : « Il a le sourire de sa mère et le regard de son père ; elle a hérité de la montre de son grand-père, des colliers de son arrière grand-mère ».

    Transmission génétique - transmission patrimoniale – transmission culturelle.

    Sommes-nous tous des descendants de  Charlemagne ? Les descendants de Genghis Kahn ? Avons-nous des gènes de l’Homme de Neandertal ?

    Sans remonter si loin, notre patrimoine génétique se transmet de génération en génération mais jamais à l’identique. Il est brassé à chaque génération et fait de chacun de nous un être unique. Mais les vrais jumeaux sont-ils aussi identiques qu’on le croit ? Quels sont les dangers de la consanguinité et quels sont les moyens « officiels » inventés pour la limiter ? Pourquoi certaines maladies ne touchent-elles qu’un seul sexe ? 

    Toutes ces questions  seront abordées en relation avec des situations issues de la  généalogie.


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    -       Dans le monde on utilise une bonne dizaine de calendriers. Pour le généalogiste français,

     il n’y a plus que 3 calendriers…

    -       Le calendrier JULIEN, utilisé en Europe jusqu’au XVIème  siècle. Utilisé plus longtemps par les orthodoxes donc en Russie ( il reste 13 jours de décalage entre ce calendrier

    et le grégorien.) Y pensez si on a des ancêtres russes : document (passeports) datés

     avec le calendrier julien !

    -       Notre calendrier actuel est le calendrier GREGORIEN. « Grégorien » vient de Grégoire,  

    du pape Grégoire XIII, qui l’instaura en 1582. Adopté seulement en 1752 en Grande-Bretagne.(ancêtres anglais ?) 

    -       Le calendrier juif se calcule « depuis la création du monde ». Il faut ajouter 3760 ans 

     au calendrier civil universel Le début de l’année est fin septembre ( la fête Roch Hachana). 

     

    -       Donc le principal bouleversement apporté par la Révolution est l'introduction d'un

    nouveau  calendrier : le calendrier républicain dont l'an I commence le 22 septembre

              1792, qui  est proclamé et va être appliqué partout à partir de fin 1793 et qui reste

              en usage jusqu'en décembre 1805 (c'est-à-dire de l'an I à l'an XIV).

     

    Pourquoi septembre et le 22 ? le jour de l’équinoxe vraie d’automne

     

    -       Les mois du  calendrier grégorien ont été remplacés par des mois de 30 jours chacun, scindés en trois décades. Plus 5 ou 6 jours dits "complémentaires" venaient compléter  

    le tout pour arriver à des années de 365 ou 366 jours. 

     

    -       Les mois portent de nouveaux noms qui se basaient sur des phénomènes socio-météorologiques  

     

    -       Ce calendrier est un acte symbolique très fort. Comme l’avènement d’une nouvelle  

    ère. (L’ère des Français). Pour quoi ? En opposition à la référence « vulgaire » comme

     le dit le décret du 5 octobre 1793, de la naissance du Christ.

    Chaque jour reçoit le nom d’un végétal, d’un animal ou d’un outil agricole…

    -       Ce calendrier sera utilisé dans toutes des administrations (le 5 octobre 1793)

    dont l’état civil ! Avec parfois des abréviations VD ou Vend pour Vendémiaire

    par exemple 

     

    MOIS d’AUTOMNE en- aire ( sons graves et mesures moyennes)

    vendémiaire : le temps des vendanges (septembre-octobre)

    brumaire : le temps des brumes (octobre-novembre)

    frimaire : le temps des frimas (novembre-décembre)

    MOIS d’HIVER en – ôse (sons lourds et mesures longues)

    nivôse : le temps des neiges (décembre-janvier)

    pluviôse : le temps des pluies (janvier-février)

    ventôse : le temps des vents (février-mars)

    MOIS DE PRINTEMPS en –al ( sons gais et mesures brèves)

    germinal : le temps des germinations (mars-avril)

    floréal : le temps des floraisons (avril-mai)

    prairial : le temps des prairies (mai-juin)

    MOIS d’ETE en – or (sons sonores et mesures larges)

    messidor :  le temps des moissons (juin-juillet)

    thermidor : le temps des thermies (juillet-août)

    fructidor : le temps des fruits (août-septembre)

     

    -       Les 10 jours de décades de la semaine : primidi, duodi, tridi, quartidi, quintidi, sextidi, septidi, octudi, nonidi, décadi

    -       Les jours supplémentaires de fin d’année se situent du 17 au 21 septembre (ou sans-culottides) : jour de la vertu, jour du génie, jour du travail, jour de l’opinion, jour des récompenses, jour de la révolution (le 21)

    -       Un septième jour les années bissextiles

     

    La seule façon de s'y retrouver quand on n'y est pas accoutumé est d'utiliser une table de correspondance.

     

    Ne cherchez pas l’an I !!

    L’entrée en vigueur du nouveau calendrier dans l’état civil ne fut faite que l’an II

    soit le 22 septembre 1793 !

         Il existe de nombreux sites permettant de convertir aisément les dates du nouveau                calendrier vers l'ancien. Comme celui-ci  (cliquez)

         http://www.poissons52.fr/histoire/revolution1789/calendrier_v.php

    NB ce calendrier fut repris brièvement pendant la Commune de Paris en mai 1871 !

     

     

     

     


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  • Les archives belges sont (en partie) numérisées maintenant et visibles de chez soi. 

    Mais il faut connaître de nom de la PROVINCE où étaient nos ancêtres ( en tapant le nom  du village sur Internet et en fouinant on  trouve ...) 

    Ce site est search.arch.be (sans les www) 

     

    Quoiqu'en dise l'article ci-dessous, j'ai trouvé rapidement de nombreux actes...

     

    Article (trouvé sur le Net)  sur les ARCHIVES BELGES 

     

     

    Si vous avez des ancêtres belges, vous pouvez désormais les rechercher sur le site Internet des Archives d'Etat de la Belgique. C'est le premier pas de cette institution vers une large diffusion gratuite de documents numérisés.

     

    Il s'agit principalement de registres paroissiaux et d'état civil, attention, il n'est pas exhaustif et ne concerne pas toutes les communes et paroisses belges. 

     

    Attention également, le site est en version beta, il est nécessaire de s'inscrire préalablement pour avoir accès aux actes. Et pour être franc, il n'est pas vraiment facile d'accès et connaît des lenteurs, mais ce premier pas mérite d'être salué avec enthousiasme !  

     

    Autant le dire tout de suite, rechercher et trouver un acte numérisé sur ce site sans connaître les petits trucs de navigation, relève tout simplement de la chance...

    La bonne méthode consiste à se rendre d'abord en page d'accueil du site search.arch.be (sans les www), de cliquer en haut à gauche sur l'onglet FR (français), faute de quoi le site s'affichera nativement en NE (néerlandais), DE (allemand) ou EN (anglais), puis de s'inscrire en cliquant dans la colonne de gauche sur "s'inscrire".

    Vous devrez donner une adresse mail valide pour recevoir un mail d'activation de votre compte.  

    Après cette étape d'inscription, passez à la recherche.

     Attention, vous devrez connaître la région de rattachement de la paroisse et de la commune. Malgré mes essais, je n'ai jamais réussi à afficher un lieu sans passer obligatoirement par la sélection de sa région.

    Ensuite, si vous savez que votre lieu se trouve par exemple dans la région de Namur, le mieux est d'utiliser l'un des deux liens permettant d'accéder directement à la liste des registres paroissiaux numérisés ou à celle des registres d'état civil numérisés. De clic en clic, passez de la région à la paroisse ou commune et faites dérouler les registres. 

    L'outil de navigation n'est vraiment pas pratique. Il est par exemple difficile de revenir à une liste de registres sélectionnés, il faut parfois tout recommencer après avoir affiché et consulté les images demandées. Les réglages de zoom sont peu souples et l'on passe par exemple de 75% à 100% sans intermédiaire. Et pour couronner le tout, l'ensemble est également très lent. On peut craindre le pire quand des dizaines, voire des centaines de requêtes seront lancées au même moment par des hordes de généalogistes belges, français et de tous les pays ! Espérons que les archives d'Etat sauront dimensionner l'outil au regard de l'attente qu'il suscite...  

    Mais en attendant, même lent et affublé de tous ces défauts, le site Web fonctionne. Il est gratuit et il permet de retrouver sans se déplacer des actes en ligne, parfois recherchés depuis de nombreuses années. Saluons alors l'initiative des archives d'Etat qui est originale sur au moins un plan : il s'agit d'un site Web centralisant les archives numérisées de tout le pays. Rappelons qu'en France, nous avons un site Web par département...  

    Liens : 

    • Site des Archives d'Etat 
    • Lien direct vers la liste des registres paroissiaux numérisés 
    • Lien direct vers la liste des registres d'état civil numérisés 

      

      




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