• Un site vers les métiers anciens

    http://www.vieuxmetiers.org/

     

    Quelques-uns là aussi :

    http://geneal.busiau.com/metiers/

     

    Ici plus particulièrement sur les métiers au XVIIIème siècle

    http://www.antan.info/


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  • VOCABULAIRE : germains

     

    l'adjectif "germain" ou au féminin "germaine", qualifie deux frères ou deux soeurs issus d' un même père et d'une même mère.

    Lorsqu'ils sont issus d'un même père, mais de deux mères différentes, ils sont dits "consanguins" et lorsqu'ils sont issus d'une même mère, mais de pères différents on les dit "utérins".

    Des cousins sont dits "germains", ou des cousines sont dites "germaines", lorsque soit dans la ligne maternelle, soit dans la ligne paternelle, ils ont des grands-parents communs. On trouve aussi l'expression " issus de germains", pour qualifier les descendants de ces personnes.

     

    " Bonjour ma cousine

    Bonjour mon cousin germain

    On m'a dit que vous m'aimiez...

    Est-ce bien la vérité ?

    Je n'm'en soucie guère (dis)

    Passez par ici, et moi par là

    Au revoir ma cousine,

    On se reverra..." ( ou et puis voilà)

     

    Pour la mélodie  ici

     

    Mais pas de mariage possible entre cousins germains ( sauf autorisation de l'Eglise sous l'Ancien Régime).

    C'est autorisé de nos jours.

     

    PEUT-ON EPOUSER SON COUSIN ?

    En droit canonique (droit religieux), on calcule les degrés en comptant le nombre de générations jusqu'à l'ancêtre commun entre 2 "fiancés"
    L'église catholique interdisait les mariages consanguins, c'est à dire entre époux ayant un ancêtre commun, jusqu'au 6ème degré.

     

    Les mariages consanguins de degré inférieur au 5 étaient entachés de nullité si on découvrait la consanguinité après la célébration.

    Cette règle explique qu'on peut trouver le mariage des mêmes personnes enregistré 2 fois à quelques mois d'intervalle. 

     

     


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  • “Dois-je saisir les témoins et l'officier de l'état civil mentionnés sur les actes ?

    Quel intérêt de renseigner ces informations en créant des noms sans rapport à priori avec ma famille ? “

     

    3 options :

    a) Tout saisir ou ne rien saisir

    Les témoins (plus encore parrains et marraines) sont la plupart du temps des proches; grands parents, oncles et tantes ou leurs conjoints. L'officiant civil ou religieux peut être passé sous silence pour les actes récents si on reste dans un cadre purement généalogique. Mais il est très fréquent de rencontrer une cérémonie faite par un proche de la famille non identifié comme tel sur le moment ...

    Ne rien saisir, c'est prendre le risque de passer à côté d'informations parfois capitales: le parrain inconnu peut se révèler être l'époux d'une tante "émigrée" dans le village d'à côté . Saisir en notes est un moindre mal, si votre logiciel permet des recherches sur celles-ci.Et si d'abord vous vous souvenez d'avoir déjà rencontré cette personne.

               Tout saisir prend du temps mais vous serez gagnant plus tard.

     

    b)     Choisir

    A part ceux ayant un prénom très rare ou une profession particulière, comment relier avec certitude une personne dont le nom ressemble et l'âge avoisine à plus ou moins 5 ans suivant les actes.

    Un fichier plein de noms jamais reliés ne sert à rien.

    C'est déjà assez difficile de relier avec certitude les personnes ayant un lien de parenté : cousin ne veut pas dire grand chose, oncle et tante n'est pas d'une précision infaillible et on a même des surprises avec grand-père. Les seules filiations à peu près fiables sont frères et soeurs et parfois ce ne sont que des “demis”.

     

    c)     Selon…. le contexte

    1. S'il existe un lien familial avec le témoin : créér un individu indépendant et faire du lien entre l'évènement et le témoin.

    2. S'il n'y a pas de lien mais que le patronyme correspond à ceux étudiés à chacun de voir selon son temps et la généalogie souhaitée s'il faut ou non créer un individu indépendant. Dans le doute c'est préférabble.

    3. Pas de lien familial et patronyme non étudié (à ce jour) Le minimum serait de saisir dans une note liée à l'évènement les noms de ces témoins.

     

    Tenir compte des témoins

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Différentes valeurs des témoins selon les actes :

    - baptêmes

    Rappel des parrains et marraines. Qui en priorité ? Pourquoi ?

    LES GRANDS-PARENTS sont généralement les premiers parrains (pour un enfant aîné)

    - acte de naissance

    Là ils sont de forts indices, les personnes les plus près « géographiquement »

    - acte de mariage

    Là c’est « préparé »… 4 témoins ; mélange d’amis et de famille, voire que des amis ; ici, on peut conclure pas de famille à proximité

    - acte de décès

    les moins fiables ; peuvent donner une indication sur le lieu de décès (en ville) si ce sont des employés (vérifier l’adresse.. ), 2 témoins ; famille mais souvent voisins, employés

     

    Pourquoi suivre les témoins ?

    Liens familiaux, regroupement familial en ville

    Permet de cerner une date de décès (s’il est encore témoin, il est encore vivant… ou au contraire il est noté « dcd » dans un acte…)

     

     

     

     


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